Prix Jean-Jacques Robert de la Nouvelle 2017
A partir du 2 mai, et jusqu’au 31 octobre 2017, nous proposons à nos lecteurs de participer sur notre site à un grand concours de Nouvelles.
A l’issue de ce concours, ouvert à toutes celles et ceux qui ont la passion de l’écriture, et qui résident en Ile de France, un jury de lecteurs décernera le Prix Jean-Jacques Robert de la Nouvelle, en hommage à un ancien maire de Mennecy qui a marqué la ville de son empreinte.
Les « tapuscrits » seront reçus à l’adresse de notre site : salondulivreidf@gmail.com avec vos coordonnées complètes et devront répondre aux prescriptions suivantes :
- 6 pages maximum, écrites en français
- Caractère : type time new roman, corps 12
- Double interligne
- La nouvelle ne doit pas avoir été éditée auparavant (ni à compte d’auteur, ni à compte d’éditeur)
- Une seule nouvelle par candidat.
Pour cette quatrième édition de notre concours, il n’y a pas de thème imposé mais seules les 120 premières nouvelles reçues pourront participer.
Le jury, issu de la commission littéraire extra-municipale de la ville de Mennecy, notera les Nouvelles reçues « au fil de l’eau », jusqu’au 31 octobre 2017 et désignera les 5 meilleures histoires.
Les résultats seront proclamés courant décembre et les lauréats recevront leurs prix lors de l’inauguration du Salon du livre et de la BD d’Ile de France le 3 février 2018 à Mennecy, à laquelle ils devront être présents. Ils seront récompensés par des bons d’achat d’une valeur totale de 300€.
Les cinq premières Nouvelles primées et les 10 suivantes (2 choisies par juré) feront également l’objet d’un recueil qui sera présenté et diffusé lors du prochain Salon du livre d’Ile-de-France.
Alors tous à vos plumes !
Quelques conseils pour les débutants
Soyez clairs, précis, intéressants et si possible originaux, travaillez le fond et la forme
Écrire une nouvelle est une affaire sérieuse ; on ne part pas « bille en tête », on réfléchit, on se pose les questions : « D’où partons-nous, où allons-nous, par où passerons-nous. » Vos lecteurs sont prêts à vous emboîter le pas, mais si vous divaguez, ils vous quitteront… le jury aussi ! Et si la chute n’est pas réussie…
Lorsque vous rédigez, évitez les tournures vagues et imprécises, les termes passe-partout : faire, avoir, mettre, rester, homme, chose, etc., qui sont à l’écriture comme les couleurs délavées et grises à la peinture. La moitié du temps de rédaction doit être consacrée à la recherche du mot « juste », celui qui permet une expression exacte de la pensée. La longueur elle-même de la phrase doit être adaptée au sujet traité ; si vous relatez une action ou une succession d’actions, usez de phrases courtes, lapidaires. Mais si vous voulez exprimer une pensée ou décrire un décor, préférez des phrases plus longues. Évitez cependant, en pareil cas, les lourdeurs de style, consécutives à l’accumulation de propositions subordonnées, grandes consommatrices de verbes et de leurs satellites, souvent pesants : pronoms et conjonctions de toute nature, adverbes en « ment ».
Votre rédaction terminée, relisez votre texte plusieurs fois. Ponctuez avec soin. Ajoutez peu, ôtez beaucoup. Vérifiez la qualité de votre syntaxe. Faites la chasse aux fautes d’orthographe.
De l’importance de la « chute »
On ne s’attend pas à une « chute » : elle surprend, par définition. Et l’on tire son chapeau à l’auteur d’avoir si bien su nous étonner en poussant simplement à son terme la logique de son histoire.